Inclassable,
la presse parle d'un libre penseur, d'un commentateur,
d'un photographe ou d'un auteur
C'est à l'âge de 16 ans que Philippe Brouquier produit
son premier écrit
dans le cadre de d'une succession de revues locales dont il est à
l'initiative.
En 1987, la presse locale parle de " dosage subtil de tous
les genres, traité
avec fougue et vivacité. Ca souffle ! Un souffle de vie. ".
Paru en 2003, son premier ouvrage en solo " Madame Vierne
vous observe
", chronique retraçant l'histoire récente
de Bourg-Saint-Andéol (de 1977 à 1992),
est vendu comme des "petits pains" et fait le bonheur des salons
et du public bourguésan.
Si la presse soutient Philippe dans son travail littéraire et
photographique
(plus de 150 articles et photos dans la presse locale) Ce sont ses modèles,
Jean Flandrin, René Verchier ou René Gaspin qui en parlent
le mieux
".
"A l'appui de sa plume,
Philippe s'avère photographe avisé sachant nous promener
parmi les merveilles de notre terroir, soucieux de fixer en nos mémoires
ces sites gardiens, parfois ancestraux, de nos origines.
En cela Philippe arbore avec passion, ses étendards de chevalier,
de la prise
de vue certes, mais aussi chevalier au rôle de " veilleur ".
" Eveilleur " également, un de ces êtres au grand
cur, en route blasonné de ses talents, plume au vent
à la découverte des secrets et trésors de notre ville
" - René Gaspin.
Depuis 2010, Philippe se concentre sur la photographie.
Un travail plus confidentiel où ses réalisations font le
bonheur des particuliers
et s'exposent au gré de ses envies sur la toile.
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